Wahou ! Quelle cérémonie d’ouverture ! Comme l’a dit Bryan Joubert, une cérémonie grandiose. Devant la TV, on se délecte des images colorées du défilé des 88 délégations et de la splendeur des tableaux successifs.
Quel éblouissement, quels jeux de lumières et surtout quelle prestation de l’entreprise française chargée de l’animation au sol. Et puis viennent les discours, on se rétracte dans le fauteuil, on se dit qu’il est peut-être l’heure de préparer un petit apéritif, qu’on va se voir asséner les traditionnels discours politiques. Par respect, on attend quelques instants… Il a une bonne tête ce Président du comité d’organisation, et ce qu’il dit n’est pas dénué d’intérêt. On aime sa proposition de jeux « hot, cool, yours ».
Vient ensuite Thomas Bach, on apprécie qu’il soit lui même champion olympique et surtout on adore le ton de son discours, le contenu de ses propos, ses prises de positions à peine voilées, ça fait du bien.
Mais reste la crainte d’un discours fleuve et politique du n°1 Russe et là aussi, c’est l’étonnement. L’étonnement dans le bon sens, quelques mots, l’essentiel et puis place à la poursuite de la fête.
Merci Mr Poutine ! Et maintenant, à vous sportifs de nous faire vibrer !