BIATHLON – « Cela ressemble à ce que l’on fait l’hiver », assure la biathlète Anaïs Chevalier qui est montée sur le podium ce jour à Arçon.
Aujourd’hui, l’objectif était surtout de réussir vos tirs ?
Oui, l’objectif, c’était de mettre les balles au fond. Nous revenons d’un stage très dur à Oberhof et comme physiquement, je commence à être un peu usée, je savais qu’en ski-roues, la forme n’allait pas être incroyable. Aujourd’hui, une petite balle m’a échappée debout, mais globalement je suis assez satisfaite de ce que j’ai fait.
Pourquoi les compétitions de ce week-end sont importantes pour vous ?
C’est un exercice grandeur nature, parce que cela ressemble à ce que l’on fait l’hiver et c’est un point de passage obligé pour valider le travail et voir où l’on en est dans la préparation. Cela nous permet de voir ce qui nous reste à comment axer le reste de la préparation.
Vous en êtes où alors ?
Je vais déjà récupérer du stage. Mais, globalement, je crois que le boulot est fait, il est derrière moi. Il me reste le plus pointu, mais le gros du gros est fait !
Quelle sera alors la suite du programme ?
J’ai dix jours pendant lesquels je vais rester tranquille, refaire un peu d’énergie, voir soleil. Après nous partons le 12 novembre à Idre, en Suède, et nous y restons jusqu’aux 29-30 novembre, pour disputer les deux premières IBU Cup.