Biathlon : Dominik Windisch continue de découvrir le poste de coach
Au printemps 2022, Dominik Windisch, l’une des têtes d’affiche du biathlon italien, annonçait mettre un terme à sa carrière sportive. Plus de deux ans après sa retraite, le transalpin a déjà retrouvé du service depuis le mois de mai puisqu’il est en effet devenu entraîneur de l’équipe nationale junior.
Travaillant aux côtés de Samantha Plafoni, Pietro Dutto et Luca Ghiglione, l’ancien biathlète, désormais âgé de trente-quatre ans, a déjà pris ses marques avec ses collègues de travail. « Je suis heureux d’avoir trouvé ce merveilleux groupe, car ce sont d’excellents collègues qui peuvent m’aider à progresser en tant qu’entraîneur, confie-t-il à Fondo Italia. Samantha et Pietro sont des experts, je ne peux que beaucoup apprendre d’eux. Et puis il y a Luca qui est jeune et qui n’a rejoint le groupe que cette année, tout comme moi. Malgré son jeune âge, il a déjà beaucoup d’expérience et est aussi très passionné. »
Grâce à ce nouveau rôle au sein de la Fédération italienne de ski (FISI), Dominik Windisch continue aussi d’en apprendre sur de nombreux aspects de sa discipline qu’il pouvait ignorer en tant qu’athlète. « Quand on est un athlète, on ne comprend pas toujours combien de petites choses sont nécessaires pour se mettre dans les meilleures conditions possibles, on ne sait pas tout ce qui se cache derrière, concède-t-il. Nous avons une Fédération qui fait un excellent travail, toutes les nations n’ont pas les mêmes possibilités que nous. Il existe même de grandes équipes qui n’ont même pas d’équipe nationale de jeunes. Et c’est grâce au travail de nombreuses personnes au sein de la FISI.
Et c’est avec l’envie de transmettre son expérience que le natif de Brunico (Italie) s’est d’ailleurs engagé dans cette aventure. « J’espère pouvoir donner plein de conseils utiles à nos athlètes en essayant de leur transmettre mes expériences, affirme-t-il. Je suis content d’avoir retrouvé un groupe très homogène. C’est excellent pour travailler, surtout lors d’un travail intense, où ils peuvent tous plus ou moins s’entraider. J’ai été très impressionné par l’envie de travailler que chacun a, ils travaillent très dur et c’est un plaisir de les coacher. »
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