Biathlon : « Un stade phare du biathlon, assez esthétique, qui surplombe la ville d’Östersund »
« Accueillant la caravane de la coupe du monde le plus souvent en tout début de saison, les athlètes ont moins l’habitude de venir disputer les épreuves d’Östersund à cette période de l’hiver. Le soleil brillera donc plus haut dans le ciel, l’air sera normalement moins froid… Peut-être la neige plus abondante que fin novembre ? »
« La piste d’Östersund est, pour moi, une des plus « rapides » du circuit. Du moins pour la boucle du sprint et de la poursuite féminine. La neige est souvent compacte, accélérant la vitesse des skis, et il est possible de conserver une vitesse de déplacement plutôt élevée tout au long du parcours. »
« On arrive sur le pas de tir en descente, ce qui en fait un stade relativement facile où les pulsations cardiaques ont eu le temps de redescendre avant de lâcher les premières balles »Marie Dorin-Habert à Nordic Magazine
« Elle est constituée de plats où les athlètes peuvent skier rapidement et de bosses rapides assez raides qui précèdent à chaque fois des descentes faciles permettant de récupérer. Le point le plus haut de la boucle est parcouru à deux reprises. Une première fois avant de basculer dans une descente plutôt longue qui emmène les athlètes tout en bas de la piste (surtout les garçons ou l’individuel dames), point bas duquel il faut remonter ensuite par paliers successifs. Une deuxième fois à la fin d’un plat montant qui permet de rebasculer dans la zone au-dessus du stade où une dernière petite montée/descente en aller-retour permet aux athlètes d’obtenir les ultimes informations avant le stade. »
« On arrive sur le pas de tir en descente, ce qui en fait un stade relativement facile où les pulsations cardiaques ont eu le temps de redescendre avant de lâcher les premières balles. Rapidité et précipitation sont parfois les pièges dans lesquels il ne faut pas tomber tout en gardant un œil sur le fanion qui peut se montrer capricieux ! »
« C’est ainsi un stade phare du biathlon, assez esthétique, qui surplombe la ville d’Östersund et son grand lac depuis le château d’eau lumineux qui jouxte le stade. Derrière, la forêt est découpée par les pistes de ski qui étendent le domaine nordique et permet aux athlètes de s’évader hors du stade pour les séances de récupération. »
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