Biathlon : encaisser les sept heures de décalage horaire
En hiver, ce sont pas moins de sept heures de décalage qui séparent l’Europe de Pékin, la capitale chinoise ville hôte des Jeux olympiques d’hiver du 4 au 20 février. Toutes les équipes essaient donc, à moins d’une semaine du grand départ, de trouver la meilleure solution pour subir le moins possible le jetlag à l’arrivée dans l’empire du Milieu.
Ainsi, l’équipe norvégienne de biathlon, de retour à col de Lavazè (Italie) depuis ce dimanche après la coupe du monde d’Antholz (Italie), commence à s’adapter dès cette semaine : « Nous allons essayer de tout anticiper de quelques heures, expliquait Sturla Holm Lægreid à Fondo Italia après le relais dominical. Nous allons donc nous coucher deux heures plus tôt. »

Par conséquent, les heures de réveil, de repas et d’entraînements seront également avancées. « Quand nous serons à Pékin, nous déplacerons encore tout de deux heures. Nous ne seront donc pas complètement adaptés aux sept heures, mais on sera en avance sur les autres », continuait le champion du monde de l’individuel.
Comme pour souligner qu’en Norvège les moindres détails sont pris en compte à l’approche du grand rendez-vous de l’hiver.
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