SKI NORDIQUE – La finale de la Ligue des champions de football a été suivie par les athlètes nordiques. Les Français, à l’exemple des frères Claude, ont supporté le PSG tandis que les sauteurs allemands étaient pour le Bayern.
Dimanche soir, le PSG a perdu la finale de la Ligue des champions de football, battu 1-0 par un Bayern Munich dominateur. De nombreux athlètes nordiques ont suivi le match retransmis, en France, par TF1, qui a réuni plus de onze millions de téléspectateurs, et RMC Sports. Notamment les frères Claude. Dans la matinée, le plus jeune des biathlètes, Emilien, avait publié une story sur Instagram. Endormi, on le voyait être réveillé par les cris des supporters du Paris Saint-Germain.
Le soir, l’ambiance n’était plus à la fête. Après le coup de sifflet final, c’était d’ailleurs au tour de Fabien Claude de réagir. « Sortez-moi de ce cauchemar », écrivait-il sur les réseaux sociaux en légende d’une photo des Allemands soulevant le trophée. Puis d’ajouter, dépité, qu’il serait « indisponible 48 heures ».
Supporters du PSG
En mars dernier, les Bassurois avaient témoigné, chez nos confrères de Vosges Matin, de leur passion pour l’équipe de la capitale. « J’ai commencé à m’y intéresser quand le projet avec le Qatar s’est mis en place. Mon parrain était déjà fan du PSG et, sans leur faire injure, il n’y a pas de gros clubs dans l’Est à part Nancy, Metz ou Sochaux », racontait Florent, l’aîné de la fratrie. Fabien et Emilien ont suivi. « Je ne me voyais pas supporter un autre club. Cela fait des sujets de conversation avec les autres athlètes à l’entraînement », témoignait ce dernier.
Pendant ce temps, d’autres avaient le sourire. À l’exemple, évidemment, des sauteurs allemands. Severin Freund, Richard Freitag, Andreas Wellinger ou encore Constantin Schmid ont eux aussi suivi la rencontre. On imagine facilement qu’ils arboraient, derrière leurs masques, un large sourire après la victoire des Bavarois.
Severin Freund a publié sur Instagram une photo où l’on voit l’équipe suivre le match
Photo : Alphaspirit.
