Franchement, on a ADORE passer la journée devant l’écran.
Ça avait pourtant mal commencé avec ce satané vent qui entrainait l’annulation des épreuves d’alpin… Dur, dur pour les athlètes en attente de performance sur les pentes coréennes.
Patienter jusqu’à l’heure du biathlon sans savoir si Eole allait être conciliant est éprouvant. Partira, partira pas…
Puis l’annonce devient officielle, les filles s’élancent…
Le biathlon est vecteur tout à la fois de coups de chaud, de refroidissements, de déceptions, de peurs, de larmes quelquefois, d’enthousiasme, d’explosions de joies hystériques… Bref un cocktail détonnant… Une espèce de délirium sans prise d’alcool !
Devant l’écran tous ces états se succèdent, s’enchaînent, s’entremêlent… dans l’ordre ou le désordre suivant les rebondissements « biathlonesques ».
Et puis c’est l’explosion gandeur atomique, violente, puissante… vociférante, hurlante. Les voisins doivent se demander ce qui se passe, ils doivent penser que la folie nous a gagnés. Rassurez-vous, chers amis, ce ne sont que les conséquences d’une crise de « biathlonite aigüe »
Inutile de prévenir un médecin, les pompiers ou un asile… il n’y a pas de remède. Il n’y a rien à faire pour éradiquer le virus… et c’est bien ainsi !
MERCI Anaïs, MERCI Martin… vous avez montré la voie du bonheur. Vos camarades vont poursuivre votre chemin…
Vivement les prochaines compétitions !
Photo : NordicFocus