1 – Avant de partir à l’aventure la fleur au fusil, ton casque tu n’oublieras pas, ni ton gilet fluo (c’est moche mais ça rend service) et éventuellement des genouillères (idem que gilet fluo) ;
2 – Comme pour les skis, tu choisiras le bon standard de fixation sur les ski-roue (pilot ou rotofella) ;
3 – Tu opteras plutôt pour des bâtons alu (ben oui, le carbone c’est beau et léger mais si tu te gauffres, ça fera moins mal au portefeuille de les remplacer) avec des pointes spéciales routes pour “accrocher” le bitume ;
4 – Une fois le matos réuni, chausser tu pourras. Et toi qui à l’habitude d’aller tirer des freins à main sur les parkings déserts une fois l’hiver venu (oui oui toi !), tu pourras aller te tester sur ces dits parkings une fois les voitures parties ; ben oui, sinon, c’est du slalom 😉
5 – Après quelques gamelles sans doute, tu te sentiras fort et en équilibre. Mais c’est pas pour autant le moment de prendre la première route venue : quelques heures de perfectionnement sont nécessaires sur une piste fermée par exemple (il y en a qques-unes dans le massif du Jura comme Arçon, La Seigne…) ;
6 – Apprendre la fameuse technique du « chââââsse-la-neiiiiige » tu t’évertueras : autrement dit, apprends à maîtriser ta vitesse dès le début d’une descente ;
7 – Ton pas tournant (à gauche comme à droite) tu travailleras, tout comme ton équilibre via des exercices pratiques : tu sais, ceux que tu fais quand tu reprends contact avec la neige ;
8 – La cote tu attaqueras : pour progresser en puissance et aussi en vélocité, des défis tu te lanceras style monter cette bosse en un temps par exemple ;
9 – A sauter dans l’herbe tu t’exerceras : ben oui, car après chaque montée, il y a, et la nature est stricte sur ce point, une descente ! qui demande parfois un freinage d’urgence (si possible, évite les barbelés…)
pour le conseil n°10, libre à chacun de l’inventer… à vous de jouer, on attend vos propositions !
Photo : Sur la Trans’roller, sensations de vitesse garanties…