Lucas Chanavat sur Paris 2024 : « J’ai toujours adoré la gymnastique et les anneaux »
Figurant parmi les tauliers de l’équipe de France de ski de fond à l’aube de ses trente ans, Lucas Chanavat a participé à deux éditions des Jeux olympiques sous les couleurs tricolores. Une première fois, en 2018, à PyeongChang (Corée du Sud), où il avait terminé trente-troisième du sprint classique. Et une deuxième, quatre ans plus tard, à Pékin (Chine) où il avait cette fois-ci terminé neuvième du sprint skate. Un épisode qui avait d’ailleurs laissé des traces chez les Bleus.
Pour Nordic Magazine, le Bornandin, qui est déjà arrivé sur le site du prochain stage de l’équipe de France à Trondheim (Norvège), a accepté de se prêter au jeu de « Mes Jeux de Paris 2024 ».
Lucas Chanavat : « Je n’ai jamais eu la chance d’aller voir les Jeux olympiques. J’ai failli y aller cette année mais j’ai décidé de monter au Blink Festival et de rester ensuite en Norvège. Mais il y a le 100 mètres papillon de Pékin en 2008 qui m’a marqué. J’aime vraiment bien Michael Phelps et je regardais beaucoup la natation. Cela me motivait car il y avait de beaux parallèles avec le ski. Ce 100 mètres était de la folie et c’était une des premières vidéos que j’ai eu dans mon téléphone. Evidement, les 100 et 200 mètres d’Usain Bolt m’ont aussi marqué. Aujourd’hui, les Jeux de Paris, c’est quand même dingue aussi. Cela pourrait déjà faire partie de mes souvenirs si on peut le considérer comme cela. »
Lucas Chanavat : « Il n’y en a aucun ! Ils font tous rêver et surtout quand tu les regardes à la télé. C’est très bien mis en valeur et je trouve cela vraiment beau. Au contraire, j’aimerais bien pouvoir tous les tester. »
Lucas Chanavat : « J’ai fait du judo quand j’étais petit en club. J’ai fait une compétition [Rires] ! Mais j’ai aussi fait du skateboard. Cela était plus par passion. L’année où j’étais blessé et avant de me faire opérer, j’aimais bien faire des anneaux. Petit, j’ai toujours voulu faire de la gymnastique mais je n’ai jamais eu cette chance. »
Lucas Chanavat : « Il y en a beaucoup ! En plus, il y en a tellement qui sont incroyables à Paris et notamment par leur force mentale. Je peux en citer plein en passant par les Français avec Teddy Riner ou Léon Marchand. Ce sont des légendes. Il y a aussi Pauline Ferrand-Prévot. Son histoire olympique est incroyable et, avec son palmarès, je la trouve vraiment sous côté par rapport à tout ce qu’elle a fait. À l’étranger, je trouve Michael Phelps vraiment inspirant. »
Lucas Chanavat : « J’aime tous les sports. Je ne suis pas fan de certains en particulier et j’aime bien suivre ce que je peux. Même si je ne le suis pas du tout, j’ai toujours adoré la gymnastique et les anneaux. C’est une discipline vraiment incroyable et cela me fascine. »
Lucas Chanavat : « Pourquoi choisir [Rires] ? Mais je vais dire les JO de Paris car c’est quand même un autre délire. Et c’est une folie d’avoir les Jeux en France. »
Lucas Chanavat : « Comment choisir [Rires] ? Les trois sont des légendes et je ne vais donc pas choisir. »
Lucas Chanavat : « Si je skie avec un des trois athlètes de la question précédente, je ne saurais pas choisir. Ce serait dingue avec les trois ! J’aimerais bien voir Teddy Riner sur des skis de fond car il doit pousser très fort [Rires]. Sinon, je voudrais bien skier avec tous et pourquoi pas faire un mix avec Léon Marchand, Michael Phelps et leur coach [Rires]. Même si ce n’est pas skier, faire un dîner ou une conférence avec eux serait dingue. »
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