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Planète Blanche

Planète Blanche #74 : les confidences de Tifany Huot-Marchand après l’or européen

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PLANÈTE BLANCHE – Toutes les semaines, retrouvez l’actualité – qui se veut la plus exhaustive possible – des sports blancs sur Nordic Magazine

 

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Tifany Huot Marchand revient sur le titre européen du relais féminin français en short track : « On a fait quelque chose de beau et grand »

Il y a une semaine, la Hala Olivia de Gdansk (Pologne) a été le théâtre d’un des plus grands exploits récent du sport français. L’équipe nationale féminine de short track, ou patinage de vitesse sur piste courte, est effectivement devenue championne d’Europe, comme nous vous l’annoncions lundi dernier. Tifany Huot-Marchand, Gwendoline Daudet, Aurélie Lévêque et Aurélie Monvoisin, épaulées par Cloé Ollivier, remplaçante sur les bords de la mer Baltique, sont montées sur le toit de l’Europe après une finale au scénario rocambolesque.

 

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L’équipe de France féminine de short track sacrée championne d’Europe de relais il y a une semaine à Gdansk (Pologne) – FFSG

 

« J’étais persuadée qu’on allait faire une médaille, se rappelle la Belfortaine Tifany Huot-Marchand à la Planète Blanche de Nordic Magazine, mais je ne pensais pas à celle-là ! Nous étions vraiment sereines et confiantes avant et pendant la course, même si nous nous situions à l’arrière du peloton. » Lors du dernier relais, assuré par Huot-Marchand, patineuse la plus expérimentée de l’Hexagone après la retraite de Véronique Pierron, ce qui devait arriver arriva avec un immense strike mettant dehors les Italiennes et les Néerlandaises de la superstar Suzanne Schulting. « Je me suis dit qu’on allait être vice-championnes d’Europe, reprend la Française, installée, comme toute l’équipe, à Font-Romeu (Pyrénées-Orientales). Sauf qu’on n’avait pas vu que ce sont les Russes, premières à l’arrivée, qui avaient entraîné tout ce micmac. »

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La suite est connue : alors que les Françaises, entourées de l’équipe masculine, viennent de sortir de la glace et ont encore les patins aux pieds, la Russie est disqualifiée par le jury, propulsant les Bleues sur une première marche du podium inédite dans l’histoire de l’Euro pour une équipe de France. « J’ai toujours un peu de mal à y croire, avoue Huot-Marchand, encore perchée sur son nuage alors que le top 5 était l’objectif initial. Sur le moment, on a hurlé de joie, c’était trop d’émotion d’un coup. J’ai pleuré des larmes de frustration après tout ce qui s’était passé sur le week-end. Tout est ressorti d’un coup. »

C’est qu’elle a dû se relever d’un week-end frustrant en individuel, avec une chute en demi-finale du 1 000 mètres le matin du sacre en relais : « On m’a marché sur la lame et je fais la finale B, ce qui n’était pas du tout ce que je visais. J’étais super frustrée, à deux doigts de pleurer », rigole aujourd’hui la toute nouvelle championne d’Europe du relais.

 

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Short track, Gdansk, Tifany Huot-Marchand

Tifany Huot-Marchand (FRA) – ISU

 

À l’image sur sa semaine à rebondissements, le collectif féminin français a traversé des périodes compliquées, marquées par un manque de cohésion, depuis deux ans. « Ça n’a pas toujours tout rose comme aujourd’hui, image Huot-Marchand. Depuis le début de saison, on bosse vraiment là-dessus, on a remis les choses à plat et c’est sûr que le fait de gagner ressoude l’équipe, même s’il n’y a pas que cela. Le stage passé sous le soleil de Tenerife en fin d’année dernière nous a fait le plus grand bien. »

Aussi incroyable que cela puisse paraître, cette performance historique n’assure pas aux Bleues, neuvième au ranking mondial alors que les huit premiers ont leur ticket, une place pour les championnats du monde de Dordrecht (Pays-Bas), programmés dans un mois. « On a fait quelque chose de beau et de grand, ce qui est prometteur pour la suite », termine Tifany Huot-Marchand, heureuse du travail réalisé en Pologne. Et surtout convaincue du potentiel de son équipe en vue des Jeux olympiques de Pékin 2022.

 

> Emilien Claude et Caroline Colombo en argent sur le relais mixte simple des championnats d’Europe de biathlon de Duszniki Zdroj (Pologne) : notre article ICI

 

Timothy Loubineaud enchaîne dans la bulle d’Heerenveen

Le Girondin Timothy Loubineaud, seul Français à évoluer en coupe du monde de patinage de vitesse, a participé à deux compétitions dans la bulle de la patinoire Thialf d’Heerenveen (Pays-Bas), accueillant, ces deux derniers jours, les meilleurs patineurs de la planète. À deux semaines des Mondiaux, c’était tout simplement la dernière occasion de réviser ses gammes. Dixième de la division B du 5 000 mètres en 6 min 24 sec 651, le tricolore termine loin du Néerlandais Patrick Roest, dominateur sur la distance. La veille, Loubineaud avait pris la quatorzième place de la mass-start remportée par Jorrit Bergsma.

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Une publication partagée par Irene Schouten (@ireneschouten1)

 

Par ailleurs, la Russe Natalia Voronina, en 3 min 56 sec 853, a battu le record de la piste sur le 3 000 mètres tandis que la Néerlandaise Femke Kok domine les deux 500 mètres du programme. L’Américaine Brittany Bowe reste impériale sur 1 000 et 1 500 mètres, comme la semaine précédente, et Irene Schouten gagne la mass-start. Chez les hommes, Pavel Kulizhnikov et Ronald Mulder s’emparent des 500 mètres, Kai Verbij du 1 000 mètres et Thomas Krol du 1 500 mètres. Enfin, la Norvège, chez les hommes, et le Canada, chez les dames, remportent la poursuite par équipes.

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> Découvrez ICI la sélection française pour les Mondiaux de biathlon


 

La skieuse alpine Jenny Piot a rangé les skis de descente à 28 ans : « Mon inconscient n’était plus capable de prendre des risques »

Le 21 janvier dernier, comme nous l’écrivions la semaine passée, Jenny Piot, 28 ans, annonçait mettre un terme à sa carrière de skieuse alpine. Championne du monde juniors de descente début 2013 au Canada, elle a depuis pris 117 départs en coupe du monde, jusqu’à ce que son corps dise stop, comme elle l’explique dans cette interview accordée à la Planète Blanche de Nordic Magazine. « J’ai reçu pas mal de messages et d’appels depuis mon annonce. Ça me touche parce qu’ils me disent tous qu’ils ont aimé skier ou travailler avec moi, ça fait plaisir », nous glisse-t-elle avant d’entrer dans le vif du sujet. Entretien.

 

  • Pourquoi avez-vous décidé d’annoncer votre retraite en plein milieu d’hiver ?

Après un bon été lors duquel je me suis bien entraînée et où tout allait bien, j’ai attaqué les courses et pfff… j’ai fais Val d’Isère et c’était la catastrophe. Après je suis allée à St. Anton [en Autriche, ndlr.] et je n’y arrivais toujours pas. En bas de la piste, j’étais dégoûtée de ne pas arriver à skier. Je me suis posée les questions du pourquoi en essayant d’être franche avec moi et je me suis rendu compte que j’avais des gros blocages depuis un petit moment et que j’avais du mal à me libérer sur les skis. D’année en année, c’était de pire en pire. C’était trop dur cette année et j’ai décidé qu’il valait mieux arrêter maintenant que continuer, entre guillemets, pour rien.

 

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Jenny Piot, ski alpin

Jenny Piot (FRA) – Collection personnelle

 

  • D’où vient ce blocage que vous évoquez ?

De mes chutes. En 2015, en Andorre, je me suis mis une énorme boîte en descente. Je me suis cassée l’humérus, j’ai perdu connaissance, je me suis pris un piquet derrière le cou, j’avais une lésion aux cervicales et le bras mort pendant un petit moment. Quand tu ne peux plus manger sans aide parce que tu n’as plus qu’un bras, c’est un peu traumatisant. Ça fait cinq ans que je skie avec un clou dans le bras… Je n’ai pas le droit de retomber dessus parce que sinon il explose ne mille morceaux.

 

« Je voulais prendre un dernier départ avec le sourire »

 

  • Tout cela vous inhibez…

En regardant en arrière, je me suis rendu compte que ça faisait cinq ans que je n’étais pas tombée une seule fois. Ça veut dire que je ne prends plus assez de risques. On ne peut pas rêver d’aller prendre un podium en coupe du monde si on ne prend pas ses risques. Malheureusement, mon inconscient n’en était plus capable. J’essayais même parfois de faire des fautes pour me mettre à la limite mais ça ne marchait pas. Inconsciemment, je contrôlais toujours. Il n’y avait pas de résultats à attendre de cela.

 

  • Vous avez effectué votre dernière descente sur la piste du Mont Lachaux de Crans-Montana (Suisse) en coupe d’Europe : vous saviez que c’était votre ultime course ?

Je savais que c’était une piste facile où je pourrais me faire plaisir sans trop de pression. Je voulais terminer sur une bonne note après St. Anton où il y avait beaucoup de tristesse. Je voulais aussi me faire plaisir sur les skis lors d’une descente parce que c’est quelque chose qu’on ne peut plus faire une fois à la retraite [rire]. Je voulais prendre un dernier départ avec le sourire.

 

 

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  • Comment avez-vous vécu ce dernier jour de descente ?

Plutôt bien parce que je n’ai pas trop pensé au résultat ou à la manière, j’ai plutôt pensé à me faire plaisir. J’ai passé du bon temps, je me suis marrée avec mon technicien au départ. C’était comme ça, avec le sourire, que je voulais terminer.

 

« Je n’oublie pas les mauvaises choses et mes échecs parce que j’en apprends mais j’ai envie de ne retenir que le positif »

 

  • Pendant votre carrière, vous avez été championne du monde junior de descente, vous avez participé aux Jeux de PyeongChang en 2018, gagnez une coupe d’Europe ou pris quasiment 120 départs en coupe du monde : êtes-vous fière de tout cela ?

Sur l’instant, t’es déçue parce que le rêve est de faire des podiums en coupe du monde et il n’y en a pas mais, en regardant en arrière, j’ai fais de belles choses. Ce n’est pas donné à tout le monde de faire ça. Je ne dois pas avoir de regrets ni d’amertume, je suis fière de ce que j’ai fais. Ce sont des choses de la vie qui sont arrivées. J’ai mis tout ce que je pouvais pour que ça marches… Ça ne peut pas fonctionner pour tout le monde, sinon il y aurait bien plus de places sur les podiums.

 

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Jenny Piot, ski alpin

Jenny Piot (FRA) – Instagram Jenny Piot

 

C’est complètement ça ! Je suis vraiment reconnaissante d’avoir eu la chance de pouvoir vivre tout ça. Quand on est dedans, on ne s’en rend pas réellement compte parce qu’on est obnubilé par le résultat. Quand on repense à tout ce qu’on a vécu, les voyages, le ski dans le monde entier, les personnes rencontrées, les moments de partage, il y a tellement de positif. Je n’oublie pas les mauvaises choses et mes échecs parce que j’en apprends mais j’ai envie de ne retenir que le positif.

 

  • Pour la suite, vous voulez rester dans le monde du ski : pouvez-vous nous en dire un peu plus ?

J’aimerais bien coacher. Je termine mon BE [brevet d’État, ndlr.] en avril et, si ça se débloque au niveau des visas, j’ai une opportunité d’aller travailler aux États-Unis.

 

> Les biathlètes françaises sont en tête du classement des nations : notre article ICI


 

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Première médaille aux X Games d’Aspen pour Antoine Adelisse

Le freeskieur Antoine Adelisse s’en finit plus de grandir. Monté pour la première fois sur un podium de la coupe du monde l’hiver passé et vainqueur des X Games en Norvège en mars dernier, le Plagnard de 24 ans s’est offert, dans la nuit de samedi à dimanche, une médaille aux X Games d’Aspen (États-Unis), la Mecque des sports alternatifs. Sur un format réduit à cause des contraintes sanitaires, le seul représentant français dans les Rocheuses a fait parler la poudre sur le big air où il prend la médaille d’argent derrière le Suisse Andri Ragettli.

 

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Chez les féminines, en l’absence de Tess Ledeux qui avait fait le choix, comme nous l’annoncions la semaine dernière, de ne pas aller aux États-Unis pour raisons personnelles, c’est l’Helvète Mathilde Gremaud qui est titrée dans la spécialité tandis que la Chinoise Eileen Gu réalise le doublé slopestyle/super pipe. Le Néo-Zélandais Nico Porteous, en devançant la superstar locale Aaron Blunck, et l’Américain Nick Goepper remportent l’or en super pipe et slopestyle chez les hommes.

 

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> Comment Quentin Fillon-Maillet prépare les Mondiaux de Pokljuka (Slovénie/10-21 février) : notre article ICI

 

Les championnats du monde de bosses et de saut acrobatique repris au Kazakhstan : « C’est cool », réagi Camille Cabrol

Initialement programmés en Chine, les championnats du monde de ski de bosses et de saut acrobatique sont maintenant prévus à Almaty, au Kazakhstan. Si certaines rumeurs persistantes ont un temps envoyé l’événement à Calgary, la station canadienne avait finalement dû abandonner il y a un peu plus d’une semaine à cause du lourd protocole sanitaire. C’est le site de Shymbulak, hôte des Universiades 2017 et de coupes du monde en 2019 et 2020, qui sera le théâtre de cette édition des Mondiaux (8-11 mars).

 

Camille Cabrol, ski de bosses, Idre Fjäll

Camille Cabrol (FRA) – Photo : Camille Cabrol

 

« C’est cool que ce soir repris ! s’enthousiasme Camille Cabrol à la Planète Blanche de Nordic Magazine. Comme j’étais blessée ces derniers hivers, je ne suis jamais allée au Kazakhstan donc je ne sais pas si je dois être contente ou non pour la piste. » « On n’est pas à l’abri encore de quelques changements et rebondissements, reprend et prévient Cabrol. Tant que je ne serais pas au départ de la course avec mes skis aux pieds, on ne sait pas ce qui peut arriver. Je vis le moment présent, au jour le jour. Il ne faut pas trop se projeter. » En attendant, l’équipe de France a pris la direction des États-Unis et de Deer Valley où deux manches de la coupe du monde sont prévues jeudi et vendredi. Ce dimanche soir, le groupe se promenait en trottinette dans les rues de Salt Lake City.

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> Découvrez ICI la sélection française pour les Mondiaux juniors et U23 de ski de fond de Vuokatti (Finlande)

 

> Un week-end pour rien pour le ski cross à Feldberg

Une semaine après les trois coupes du monde disputées à Idre Fjäll (Suède), marquées par les victoires d’Alizée Baron et de Bastien Midol, les spécialistes du ski cross ont connu un week-end noir du côté de Feldberg (Allemagne). C’est que les deux compétitions du programme ont dû être annulées à cause des mauvaises conditions météorologiques et de neige. Le prochain rendez-vous du calendrier ? Les championnats du monde organisés… à Idre Fjäll le 13 février.

 

> La Transjurassienne 2021 est annulée : notre article ICI


 

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Manon Petit-Lenoir revient sur son retour en coupe du monde à Valmalenco (Italie) : « Un week-end chargé en émotions »

Lundi dernier, la Planète Blanche revenait sur le premier week-end de coupe du monde de snowboard cross de l’hiver. C’était sur le magnifique parcours de Valmalenco (Italie) et c’était, aussi, l’occasion pour la Septimontaine Manon Petit-Lenoir de remettre un dossard quasiment deux ans après sa dernière course. « Avec du recul, je suis vraiment satisfaite de ce que j’ai réussi à mettre en place sur ses deux premières coupes du monde, explique-t-elle à la Planète Blanche de Nordic Magazine. Je n’avais plus aucun repère, je ne savais pas si j’étais vraiment prête à reprendre la compétition. C’était difficile à gérer mais tout s’est passé comme je l’aurais voulu même si je suis aux portes de la grande finale les deux jours [elle termine sixième et septième, ndlr.], ce qui est un peu frustrant. J’aurais signé pour ses résultats-là avant le week-end. »

 

Manon Petit-Lenoir, snowboardcross

Manon Petit-Lenoir (FRA) – Photo : Eva Bigeard

 

Pour la snowboardeuse de Samoëns (Haute-Savoie), championne olympique de la jeunesse en 2016 en Norvège, il a fallu tout réapprendre depuis sa blessure qui l’avait notamment obligé à porter un corset pour maintenir son dos droit. « Je n’avais plus idée de ma routine de compétition, reprend la jeune femme de 22 ans. Je ne savais plus quel était le stress que j’aimais avoir au départ, lequel me tétanisait, lequel me boostait. C’est plein de petits trucs bêtes à retrouver. » Au final, Manon Petit-Lenoir avoue que ça lui a « vraiment fait du bien de courir, ça m’a remis de la confiance pour la suite de la saison même si c’était un week-end chargé en émotions ».

 

> Chloé Trespeuch en impose à Isola 2000, deux podiums pour Manon Petit-Lenoir

Avant de partir sur les championnats du monde d’Idre Fjäll (Suède) prévus les 12 et 13 février, l’équipe de France de snowboard cross se trouvait du côté d’Isola 2000 (Alpes-Maritimes) le week-end passé où deux courses de coupe d’Europe étaient organisées. Si c’est Chloé Trespeuch qui s’est rassuré après une coupe du monde transalpine compliquée en gagnant les deux compétitions, Manon Petit-Lenoir renoue avec le podium en terminant troisième puis deuxième. « Le boarder était assez différent de ce qu’on retrouve en coupe du monde avec des virages plus serrés où on pouvait moins se doubler, décrypte Manon-Petit Lenoir Planète Blanche de Nordic Magazine. Je suis à la bataille sur les deux courses, c’est cool ! »

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Chez les hommes, Merlin Surget et Quentin Sodogas ont été les plus forts alors que les snowboardeurs handisports Maxime Montaggioni et Cécile Hernandez, privés de compétitions cet hiver, ouvraient les courses.

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> La Villardienne Juliette Ducordeau a rechaussé les skis : notre article ICI

 

Chloe Kim confirme son retour en forme aux X Games

Il n’y avait pas que les freeskieurs qui étaient sur le point lors des X Games d’Aspen (États-Unis) le week-end passé. En snowboard, l’Américaine Chloe Kim, vainqueure en coupe du monde à Laax (Suisse) il y a une semaine, a confirmé sa supériorité en dominant la compétition de super pipe, comme Yuto Totsuka chez les hommes, devant sa compatriote Maddie Mastro et la Japonaise Haruna Matsumoto. Jamie Anderson, championne olympique en 2014, réalise le double slopestyle/big air tandis que, chez les hommes, Dusty Henrickson et Marcus Kleveland gagnent l’or du slopestyle et du big air.

 

 

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> Le sauteur Slovène Peter Prevc positif à la Covid-19 : notre article ICI


 

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Une semaine riche en émotions entre la retraite de Julien Lizeroux, le double podium de Schladming, le top 10 de Kitzbühel avec le dernier dossard pour Matthieu Bailet et la victoire de Clément Noël à Chamonix

Le grand cirque du ski alpin a vécu une semaine des plus animées. Tout d’abord, le lundi, le week-end (allongé) du Hahnenkamm prenait fin sur la Streif de Kitzbühel (Autriche) où un super-G était organisé. Si le local Vincent Kriechmayr s’est imposé devant Marco Odermatt et Matthias Mayer, c’est la performance XXL du Niçois Matthieu Bailet, dernier sur la liste de départ avec le dossard 50, qui a marqué les esprits. En prenant la huitième place à 1 sec 34, il avoue avoir « eu un effet de surprise » en franchissant la ligne d’arrivée. « C’est mon premier top 10 en super-G, c’est juste génial, exceptionnel pour moi », expliquait-il encore.

 

 

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Quelques heures plus tard, une nouvelle moins enthousiasmante mais non moins importante tombait sur le compte Twitter du Plagnard Julien Lizeroux : le double médaillé mondial annonçait, par la publication d’une courte vidéo intitulée « The End », que le slalom nocturne de Schladming (Autriche), disputé le mardi, serait le dernier de sa carrière. Il a donc poussé, le lendemain, son 172e portillon en coupe du monde, n’accrochant pas la seconde manche mais faisant tomber, en guise d’adieux, son dossard, le 38, dans l’aire d’arrivée. À 41 ans, c’est un roc de l’équipe de France qui se retire dans le temple du slalom : « J’adore la compétition, je suis un fan de sport, de ski mais la compétition sans être performant n’est pas mon kiffe. Il fallait terminer cette histoire, cette aventure qui a été exceptionnelle », contait-il en zone mixte.

 

 

Sur la piste, les Français ont fait le show pour leur pote puisque Clément Noël et Alexis Pinturault, pour qui « c’était une belle journée », complètent le podium derrière Marco Schwarz, roi du slalom cet hiver. De slalom, il en a ensuite été question tout le week-end sur la Verte des Houches de Chamonix (Haute-Savoie). 357 jours après son dernier succès en coupe du monde, le Vosgien Clément Noël y a renoué avec la victoire en gagnant la course du samedi : « Ma forme est ascendante, c’est de bon augure pour la suite et notamment les Mondiaux », expliquait-il après son triomphe. Malheureusement, le premier run dominical lui a été fatal puisqu’il n’est pas parvenu à accrocher la seconde manche.

 

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Lors de celle-ci, d’ailleurs, les conditions de neige ont perturbé les favoris puisque le terrain, salé tout le week-end, a saturé et très vite marqué, permettant les remontées des Suisses Ramon Zenhaeusern et Sandro Simonet. Finalement, le duo helvète a été battu par Henrik Kristoffersen, impérial dans le champ de mines de la Verte des Houches. Victor Muffat-Jeandet, « heureux d’avoir réussi une grosse seconde manche dans des conditions compliquées », termine au pied du podium tandis qu’Alexis Pinturault, deuxième après la première manche, est huitième, comme la veille. En cette fin de semaine, les fous de la vitesse seront sur le pont à Garmisch-Partenkirchen (Allemagne) pour les dernières courses disputées avant les Mondiaux de Cortina (Italie/8-21 février).

 

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> L’IBU épingle son ancien président Anders Besseberg pour corruption : notre article ICI

 

Tessa Worley reine du géant à Kronplatz, pas de Mondiaux pour Sofia Goggia

Le jour où Julien Lizeroux enfonçait ses derniers piquets sur la Planai de Schladming (Autriche), sa compagne Tessa Worley renouait avec la victoire lors du slalom géant de Kronplatz (Italie), comme un symbole. La Bornandine, qui n’avait plus gagné en coupe du monde depuis le 27 octobre 2018 à Sölden (Autriche), a de nouveau levé les bras après une seconde manche menée tambours battants dans les Dolomites. Un succès, son quatorzième sur le circuit mondial, qui lui donnait un sourire grand comme ça : « Je suis vraiment hyper contente et ravie de cette course », rayonnait-elle en zone mixte. Gagner le dernier géant disputé avant les Mondiaux, cela n’était jamais arrivé à Tessa Worley, véritablement armée pour devenir triple championne du monde dans quelques semaines à Cortina (Italie).

 

 

En fin de semaine, ce sont les spécialistes de la vitesse qui se donnaient rendez-vous à Garmisch-Partenkirchen, en Allemagne. Pour le moment, seul un super-G a pu être disputé puisque celui programmé ce dimanche a été reporté, à cause du brouillard, à ce lundi matin. C’est la Suissesse Lara Gut-Behrami, nouvelle adversaire de Petra Vlhova dans la quête du gros globe de cristal après ce troisième succès de suite dans la spécialité, qui s’est imposée… avec 68 centièmes d’avance sur la Norvégienne Kajsa Vickhoff Lie, la Canadienne Marie-Michèle Gagnon étant reléguée à 93 centièmes. Tiffany Gauthier termine bonne dixième et Tessa Worley quatorzième.

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L’Italienne Sofia Goggia, quatrième de cette première course du week-end et reine de la descente depuis le début de l’hiver, ne pourra, quant à elle, plus skier de l’hiver. Maudite, la Bergamasque a chuté en redescendant du haut de la piste de Garmisch après l’annulation de la course dominicale : victime d’une fracture du plateau tibial latéral du genou droit, elle doit observer une période de repos de 45 jours. Les Mondiaux de Cortina, organisés à domicile, ne sont donc plus qu’un doux rêve pour la championne olympique de la descente.

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> Le monde du biathlon en émoi après les révélations sur Anders Besseberg : notre article ICI

 

> Victor Schuller s’impose en descente sur la coupe d’Europe d’Orcières, Steven Amiez proche de la victoire en course FIS

La semaine passée, la coupe d’Europe masculine de vitesse faisait escale à Orcières (Hautes-Alpes). Là-bas, l’Avalin Victor Schuller, avec le dossard un, s’est offert une troisième victoire sur le circuit continental, la troisième en France après son doublé chamoniard il y a deux ans. Sam Alphand termine d’ailleurs troisième tandis que l’Américain Erik Arvidsson a gagné l’autre descente de la semaine. Le super-G est revenu à l’Autrichien Maximilian Lahnsteiner, Cyprien Sarrazin terminant quatrième devant Roy Piccard.

 

 

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Chez les féminines, les coupes d’Europe de slalom de Zell am See (Autriche) sont gagnées par l’Allemande Lena Duerr et la Croate Zrinka Ljutic, à peine âgée de 17 ans. Enfin, sur les slaloms FIS de Val Palot (Italie), Steven Amiez et Simon Piolaine, dauphins du Suédois Jesper Braendholm, s’offrent un podium avant d’échouer aux portes de la boîte le lendemain.

 

> La Lettone Baiba Bendika championne d’Europe du sprint : notre article ICI


 

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Première victoire en coupe du monde pour Noé Claye

Lundi dernier, les télémarkeurs de la coupe du monde disputaient, sur les pistes bavaroises d’Oberjoch (Allemagne), les deux premières Classic de l’hiver. Exit les sprints disputés en deux manches courtes et place à une course longue d’environ deux minutes. Chez les féminines, la reine Amelie Wenger-Reymond a réalisé le doublé en devançant largement Jasmin Taylor puis Johanna Holzmann.

 

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Noé Claye (FRA) – Photo : FIS Télémark

 

Chez les hommes, en revanche, c’est le drapeau français qui a brillé avec le succès du Septimontain Noé Claye, 22 ans, sur la première Classic de la journée. Une première victoire à ce niveau confirmé dans l’après-midi par une troisième place quand le Suisse Nicolas Michel s’imposait. Après cette grosse semaine d’Oberjoch, le télémark est de retour sur pause pour une durée indéterminée… Pour le moment, la prochaine coupe du monde est programmée du 10 au 14 mars à Thyon (Suisse).

 

L’œil d’Elie Nabot, télémarkeur de l’équipe de France décryptant les performances tricolores :

« Cette journée du lundi consacrée aux deux premières Classic de l’hiver s’est plutôt bien passée pour la France avec cette victoire de Noé Claye qui fait ensuite troisième sur la deuxième course. Ça faisait bien longtemps qu’on n’avait pas eu de Marseillaise, ça faisait vraiment bien plaisir ! Derrière, on a fait un bon tir groupé sur la deuxième Classic avec Théo Sillon sixième, moi septième et Alexis Page huitième. C’était pas mal parce que tout le monde jouait un petit peu le podium. Dans l’ensemble, c’est plutôt positif.
Chez les filles, il y a eu de bons résultats avec les plus jeunes comme Maëly Vernet, dixième, Iloée Ravanel, huitième, et Camille Bourbon, sixième, qui entrent dans les dix. Argeline Tan-Bouquet est tombée sur la première avant de bien se rattraper sur la deuxième en terminant cinquième à moins d’une seconde du podium.
Concernant, Matti Lopez, sa blessure aux ligaments croisés a été confirmée… Comme on le dit, ça fait chier parce que c’est mon collègue de chambre et il va manquer la fin de saison alors qu’il était en forme. J’espère qu’il sera de retour assez tôt pour la saison prochaine. »

 

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> Le Marathon Ski Tour annulé : notre article ICI


 

Pas de titre mondial pour l’Allemand Felix Loch, pourtant ultra dominateur cet hiver en coupe du monde

Gagner la coupe du monde avec une marge abyssale sur ses concurrents n’assure en rien un titre mondial se jouant sur une course d’un jour. L’Allemand Felix Loch, sept fois champion du monde en individuel, en a fait l’amère expérience le week-end dernier à Königssee (Allemagne) où les cinquantièmes championnats du monde de luge étaient organisés. D’abord quatrième du sprint gagné par l’Autrichien Nico Gleirscher, il est ensuite battu par le Russe Roman Repilov, titré pour la deuxième année de suite, de 62 millièmes lors de la compétition classique.

 

 

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Chez les féminines, l’Allemande Julia Taubitz, impériale tout au long de la semaine, réalise le doublé pour remporter ses deux premières médailles d’or mondiales individuelles en carrière. Natalie Geisenberger, à l’image de Loch, termine quatrième puis deuxième. Enfin, en double, Tobias Wendl, qui est d’ailleurs devenu papa en début de semaine, et Tobias Arlt gagnent le sprint et leurs compatriotes Toni Eggert et Sascha Benecken la course classique. Le titre du relais est remporté par l’Autriche devant l’Allemagne et la Lettonie. La coupe du monde de luge prendra fin le week-end prochain sur la piste de St. Moritz (Suisse).

 

> Johannes Hoesflot Klæbo annonce son programme pour les Mondiaux d’Oberstdorf (Allemagne) : notre article ICI

 

Charlotte Roche dans le top 20 de la dernière coupe du monde juniors de luge sur piste naturelle

Ce lundi, la piste naturelle de Jaufental (Italie) accueille les championnats d’Europe juniors, dernier rendez-vous de l’hiver pour la relève de la luge sur piste naturelle. Mais, ce dimanche, l’ultime coupe coupe du monde s’y est déroulée avec, au bout de la course, une vingtième place pour la Française Charlotte Roche. Rémi d’Aviau de Ternay termine, de son côté, trente-sixième. Le classement général final est gagné par l’Italien Fabian Brunner, invaincu en quatre étapes, et l’Allemande Lisa Walch. Charlotte Roche est neuvième.

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Charlotte Roche, luge, luge sur piste naturelle

Charlotte Roche (FRA) – Miriam Jennewein

 

> Écoutez ICI le deuxième épisode de « Dans les traces », le podcast ski de fond de Nordic Magazine


 

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> Axelle Gachet-Mollaret fait étalage de toute sa classe sur la coupe du monde de ski alpinisme de Verbier

Après la manche inaugurale organisée en décembre en Italie, la coupe du monde de ski alpinisme poursuivait sa route ces derniers jours dans le Val de Bagnes, à Verbier (Suisse). La Française Axelle Gachet-Mollaret a réalisé le week-end parfait en dominant la course verticale puis l’individuel dominical. Elle n’est pas la seule à avoir brillé dans le clan tricolore puisque Thibault Anselmet termine troisième de la vertical race remportée par le Suisse Rémi Bonnet avant que l’Italien Robert Antonioli ne s’impose sur l’individuel. Dans les catégories jeunes, Anselme Damevin et Margot Ravinel, sur la course verticale et l’individuel, prennent une médaille de bronze en U20 tout comme Marie-Charlotte Iratzoquy, Marie Pollet-Villard et Julien Bernaz en U23. Ce week-end, le circuit mondial fait escale à Flaine (Haute-Savoie) où un sprint et un individuel seront au programme.

 

 

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> Therese Johaug battue par Jessie Diggins à Falun (Suède) : notre article ICI

 

> Sofia Nadyrshina battue en coupe du monde de snowboard alpin

Alors que la FIS a officialisé la reprise des championnats du monde de snowboard alpin à Rogla (Slovénie/1-2 mars), le circuit de la coupe du monde se trouvait à Moscou (Russie) samedi dernier pour un slalom parallèle. À domicile, Dmitriy Karlagachev a décroché sa première victoire en coupe du monde en battant le Slovène Zan Kosir en finale. Le Français Sylvain Dufour prend la 33e place. Chez les féminines, l’Autrichienne Daniela Ulbing s’impose, dominant Sofia Nadyrshina, qui restait sur deux victoires de suite, en finale. Cette semaine, la station de Bannoye (Russie) organise deux courses.

 

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> La Russe Natalia Nepryaeva s’est cassée la main : notre article ICI

 

> La coupe du monde de bobsleigh et de skeleton est terminée, place aux Mondiaux !

C’est sur la piste autrichienne d’Igls, située à Innsbruck, que la coupe du monde 2020/2021 de bobsleigh et de skeleton a pris fin le week-end dernier. En bob masculin, le pilote allemand Francesco Friedrich a réalisé deux nouvelles démonstrations et gagnant tous les classements. Le Français Romain Heinrich est huitième en B2 et dix-huitième en B4. Chez les féminines, les Américaines Kaillie Humphries et Lolo Jones s’imposent mais la coupe du monde est gagnée par l’Autrichienne Katrin Beierl, troisième à domicile. En skeleton, enfin, les Russes Elena Nikitina et Alexander Tretiakov remportent les courses mais les globes reviennent à Martins Dukurs et Janine Flock, plus réguliers. Rappelons que les bobeuses françaises et Agathe Bessard, spécialiste du skeleton, ont fait l’impasse sur cette coupe du monde pour préparer les Mondiaux d’Altenberg (Allemagne/5-14 février).

 

Bobsleigh, Innsbruck, Igls, Romain Heinrich

La Team Heinrich en action – Photo : IBSF

 

> Emil Persson et Lina Korsgren remportent la Marcialonga : notre article ICI

 

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> Cinquième Trophée Andros pour Jean-Baptiste Dubourg

Lundi dernier, la Planète Blanche a malencontreusement laissé échapper les résultats des courses du e-Trophée Andros organisées à Lans-en-Vercors (Isère). Réparons de suite l’oubli en annonçant les succès de Jean-Baptiste Dubourg et de Nathanaël Berthon. Après cela, Dubourg, au volant de sa Renault Zoé, arrivait à Val Thorens (Savoie), lieu des trois dernières courses, en position de force. En gagnant les deux premières avant de laisser la victoire à Berthon sur la dernière, dont le journaliste Julien Febreau termine troisième, il s’assure le gain du classement général pour la cinquième fois après 2016, 2017, 2018 et 2019.

 

 

> Jarl Magnus Riiber remporte le Triple de Seefeld au bout du suspense : notre article ICI

 

> Les Français dominateurs sur la coupe d’Europe de ski de bosses d’Äre

Le week-end passé, le groupe B de l’équipe de France de ski de bosses se trouvait à Äre, en Suède, où une manche de la coupe d’Europe avait lieu. Fantine Degroote, sur les coupes du monde en début d’hiver, réalise le doublé tandis que James Crozet et Thibaud Mouille triomphent chez les hommes. Les prochaines coupes d’Europe sont programmées cette semaine à Taivalkoski (Finlande).

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> Marita Kramer domine le week-end de saut à ski féminin à Titisee-Neustadt (Allemagne) : notre article ICI

 

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> Les Mondiaux de patinage artistique maintenus… pour le moment

Le Conseil de l’ISU a décidé, la semaine passée, de maintenir les championnats du monde de patinage artistique de Stockholm (Suède/22-28 mars) au programme malgré toutes les menaces sanitaires planant sur l’organisation de l’événement. Cette décision pourrait cependant être modifiée au début du mois de mars selon les listes d’engagés. Les Mondiaux de patinage synchronisé sont, de leur côté, annulés.

 

> Johannes Hoesflot Klæbo signe son retour en écrasant le sprint de Falun (Suède) : notre article ICI

 

> Le Russe Maxim Burov s’adjuge la coupe du monde de saut acrobatique

Avec cinq victoires en cinq étapes de la coupe du monde, le Russe Maxim Burov, une nouvelle fois vainqueur le week-end passé à Raubichi (Biélorussie), s’est assuré le globe de cristal avant même les deux derniers concours de l’hiver. Il devance de peu, dans la capitale biélorusse, Stanislav Nikitin et le Canadien Lewis Irving. Chez les féminines, la victoire s’est jouée dans un mouchoir de poche entre Megan Nick, qui tire le gros lot, Laura Peel et Winter Vinecki. Ce samedi, une compétition, la dernière avant les Mondiaux, aura lieu à Deer Valley (États-Unis).

 

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> Halvor Egner Granerud plus fort que le vent à Willingen (Allemagne) : notre article ICI

 

> La coupe du monde de freeski slopestyle de Font-Romeu annulée

Initialement prévue en janvier, la coupe du monde de freeski slopestyle de Font-Romeu (Pyrénées-Orientales) avait été décalée à la mi-mars en raison des incertitudes liées au coronavirus. La semaine passée, la FIS a tout simple sonné le glas de la manche française remportée à trois reprises par la Plagnarde Tess Ledeux.

 

> Découvrez en cliquant ICI la totale du week-end nordique !

 

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> Le plongeon glacé du snowboardeur Patrick Burgener !

 

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Photos/Vidéos : IBSF, ISU, Eva Bigeard, Camille Cabrol, FIS Télémark, Miriam Jennewein, YouTube, Twitter, Facebook et Instagram.

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