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Saut à ski : « C’est un tremplin sur lequel personne n’a sauté », explique Joséphine Pagnier
Ce jeudi à partir de 10h30, les sauteuses à ski engagées aux Jeux olympiques de Pékin 2022 vont enfin pouvoir tester le tremplin de 106 mètres de Zhangjiakou (Chine). Véritablement bijou architectural, il a subjugué l’équipe de France ce mercredi lors d’une reconnaissance. « C’est l’un des plus beaux tremplins du monde de ce point de vue », glissait d’ailleurs Damien Maitre, le coach tricolore, en conférence de presse.
Si beau soit-il, le stade de saut à ski chinois est encore inconnu pour la totalité des sauteurs sélectionnés pour les Jeux. « C’est un tremplin sur lequel personne n’a encore sauté et pour lequel on n’a aucune information, donc on est toutes égales là-dessus, explique Joséphine Pagnier, engagée en Chine avec la Vosgienne Julia Clair, à Nordic Magazine. Mais je ne suis pas anxieuse parce que le saut à ski se joue tellement aux sensations que je préfère me faire ma propre idée lors des entraînements. »
Comme pour le ski alpin, le ski de fond et le biathlon, aucune épreuve test, coronavirus oblige, n’a effectivement pu avoir lieu sur les installations olympiques ces derniers mois. Il va donc falloir appréhender le tremplin de la province du Hebei ce jeudi et ce vendredi, avant de sauter dans le grand bain du concours olympique samedi à compter de 11h45.
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