Ski de fond : « Après deux années compliquées, ce n’est pas une surprise », explique Didrik Toenseth
Le fondeur Didrik Toenseth, 30 ans le 10 mai prochain, ne sera pas de l’équipe nationale norvégienne dévoilée par sa fédération dans quelques semaines. Champion olympique du relais en 2018 sur les pistes sud-coréennes de PyeongChang et vainqueur, notamment, de l’individuel classique de Davos (Suisse) en décembre 2014, le natif de Trondheim sort de deux exercices difficiles : « Je l’ai vu arriver. Après mes deux années compliquées, ce n’est pas une surprise », confie-t-il à la NRK.
Cet hiver, outre deux courses FIS à domicile et le skiathlon des championnats de Norvège, il n’avait pris part qu’au mini-tour d’ouverture de Ruka, en Finlande.
Malgré ce coup dur, Didrik Toenseth vise les Jeux olympiques de Pékin l’hiver prochain. « J’ai prévu un plan avec des spécialistes pour y aller », explique-t-il, confiant en ses capacités à retrouver son niveau d’antan. Un niveau qui avait placé ce grand adepte de cross à quelques secondes secondes d’une médaille mondiale en individuel à Seefeld (Autriche) en février 2019.
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