16:05. Jusqu’à présent, les nordiques étaient épargnés par le dopage aux Jeux olympiques de Pékin. Un premier cas de suspicion concerne l’Ukrainienne Valentyna Kamiska, testée le 10 février lors de l’individuel classique de ski de fond. Elle a été a été contrôlée positive à la mestérolone (stéroïde anabolisant) et à la méthylhexanamine (stimulant), comme l’a révélé ce mardi le laboratoire accrédité par l’Agence mondiale antidopage, l’International Testing Agence (ITA).
« Valentyna Kamiska a été informée de l’affaire et a été suspendue provisoirement jusqu’à la résolution du cas », informe celui-ci dans un communiqué. L’athlète ne peut plus participer à aucune activité durant les JO. Elle a le droit de contester sa suspension provisoire devant le Tribunal arbitral du sport (TAS) et de demander l’analyse de l’échantillon B.
Pour le moment, la fondeuse ukrainienne, n’avait pas brillé par ses performances. 79e de l’individuel classique, 70e du sprint libre et 18e du relais féminin.
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