Une réunion de la FIS a abordé mardi le sujet du vol à ski féminin
Mardi, le comité de saut à ski de la Fédération internationale de ski (FIS) s’est réuni. A l’ordre du jour, il y avait notamment l’ouverture du vol à ski aux femmes. En avril, la Norvège avait déjà demandé leur participation pour le prochain rendez-vous à Vikersund. Mais elle n’avait pas obtenu gain de cause. L’Autriche, la Slovénie, la Pologne et l’Allemagne ne l’avaient en effet pas suivi.
Sarah Hendrickson, l’Américaine qui a remporté la première coupe du monde féminine en 2011, s’est exprimée au nom des athlètes. Elle a de nouveau plaidé pour une égalité entre les sexes et redit l’envie des compétitrices à faire comme leurs homologues masculins.
« Il n’y aura pas de changement en 2022, mais nous gardons la porte ouverte pour 2023. Cela offre une belle opportunité », a déclaré, après les discussions, le représentant de la Norvège au comité de la FIS Bertil Paalsrud à l’agence de presse NTB (citée par Nettavisen).
En fait, il estime que plusieurs pays pourraient changer leur fusil d’épaule après la prochaine coupe du monde à Willingen (Allemagne) en janvier 2022. Les femmes vont sauter sur le plus grand tremplin (HS 147) du circuit. Même si celui-ci n’est pas considéré comme une piste de vol à ski, il constitue une étape dans le processus soutenu notamment par la star norvégienne Maren Lundby.
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